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Succès géantissime pour un carnaval enchanteur à Sin-le-Noble

On annonçait de la féerie pour le carnaval de Sin-le-Noble, ce dimanche. Sous un soleil radieux, c’est un véritable kaléïdoscope de thématiques qui a régalé plus d’un millier de personnes dans les rues sinoises.

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Malgré un carnaval décalé, le Rœulx en liesse durant trois jours

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Immo Vlan

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Carnaval de Boujloud : quand les ruelles d’Imintanout se transforment en scènes de spectacles et de liesse

Située au pied des montagnes de l’Atlas à une quarantaine de kilomètres de Chichaoua, la ville d’Imintanout vit depuis, vendredi soir, au rythme de son carnaval de « Boujloud », un événement alléchant et riche en shows et danses organisé, annuellement, dans le cadre de la célébration de l’Aid Al Adha.

Amplement ancrée dans les traditions des autochtones et héritée de génération en génération à travers de longs siècle d’histoire, cette fête populaire de Boujloud (homme de peaux) est l’occasion donc de revivifier et perpétuer tout un rituel ancestral qui se trouve intimement lié à l’Aid Al Adha.

Il s’agit d’un événement majeur organisé depuis des lustres, dans la liesse et la joie collective, autour d’un personnage satirique, déguisé en peau de mouton ou de bouc, avec un visage arborant un masque, généralement une gueule de mouton, orné de cornes, ou tout simplement teinté en noir.

Collant à la main des pattes de mouton, « Boujloud » connu également sous l’appellation de « Bilmaouen » en amazigh, a pour mission de sillonner les ruelles tout au long de la journée, le plus souvent accompagné d’autres individus déguisés, ou d’un groupe d’enfants dont, la tâche consiste essentiellement à collecter des dons et de l’argent auprès du public tout au long de l’itinéraire emprunté, afin d’échapper aux coups de « Boujloud ». Un spectacle donné le plus souvent au rythme des grands tambours.

Si cette fête populaire est organisée depuis les temps dans nombre de villes et de campagnes à travers le Royaume, généralement le deuxième jour de l’Aid Al Adha pour durer encore 2 à 3 jours, elle a de plus en plus tendance à disparaitre, de nos jours, dans nombre de villes et de régions.

Il est presque 20h, une effervescence remarquable et une agitation qui sort de l’ordinaire est observée dans différents quartiers de la ville d’Imintanout, à l’instar d’ »Afela’N’Talat », « Tazrout », « Izouran », « Sidi Ali’O’Isshak » et « El Kasbah ». L’occasion en est le Carnaval de « Boujloud » tant attendu par petits et grands, hommes et femmes, comme l’illustre un public venu en masse investir différents coins de la ville, et assister et apprécier les multiples shows et spectacles programmés pour la circonstance.

Alors que certains enfants et femmes, le regard émerveillé, ont choisi de venir assister à ce spectacle inédit, d’autres, au contraire, ont préféré le suivre depuis les terrasses et fenêtres de leurs demeures.

Une autre manière pour les habitants et les hôtes de la ville d’Imintanout de rompre avec la routine des longues journées ensoleillées et où, le mercure a atteint son summum en cette saison estivale, les obligeant à ne pas quitter leurs maisons qu’en cas d’extrême nécessité. Le Carnaval est donc une occasion de pouvoir renouer avec ce cérémonial ancestral de « Boujloud » qui, lui aussi, n’a pas échappé aux effets de la modernité et aux aléas du moment en y associant, désormais, moult shows des arts de la rue.

Dans ce sens, certains jeunes portant des masques de créatures bizarroïdes et espiègles, qui semblent sortir des ténèbres, ont continué à défiler et à danser au rythme des sonorités de Gnaoua, suscitant, subtilement, un mélange de sensations et d’émotions chez le public, notamment chez les femmes et les enfants dont, les visages affichent, le temps de ce spectacle inédit, « joie », « émerveillement » et une certaine « peur » de cette vague de créatures à découvrir.

Non loin, d’autres « artistes », dans des gestes synchronisés et maitrisés, font bouger et faire danser des marionnettes géantes, alors que d’autres portaient des statues en bois représentant des hommes en habits traditionnels marocains.

« Le Carnaval de Boujloud » à Imintanout se veut donc une véritable occasion festive et un moment de retrouvaille tant attendu entre familles, amis et proches, le temps de passer ensemble des moments inoubliables, de mémoriser l’instant et d’apprécier des shows exécutés, avec brio, par « Boujloud » et ses compagnons autour de plusieurs thématiques en rapport avec la fertilité de la terre, l’alternance des saisons, la mort, les êtres vivants…etc.

Près de trois heures durant ces belles soirées de l’Aid Al Adha, nombre d’artistes déguisés en monstrueuses créatures ou vêtus de costumes confectionnés à partir de peaux de moutons et de chèvres, ont pris l’habitude de défiler, en début de soirée, à travers les ruelles de la ville aux rythmes de grands tambours et Qraqeb (crotales), pour le plaisir et le bonheur de tous.

Et pour que le tout soit organisé dans les règles de l’art et permettre au public de passer d’agréables moments, les autorités locales, les services de police et les éléments des forces auxiliaires n’ont pas lésiné sur les moyens pour assurer la fluidité de la circulation au niveau des artères de la ville, et garantir toutes les conditions optimales d’organisation d’un Carnaval digne de ce nom.

Toujours côté organisationnel, si plusieurs associations dédiées à la préservation et à la pérennisation du cérémonial de « Boujloud » ont vu le jour il y a quelques années, à l’initiative de jeunes, au niveau des quartiers les plus peuplés et les plus anciens d’Imintanout, d’autres préfèrent en cette circonstance heureuse, se déguiser en solo en « Boujloud » et se fondre dans la foule, pour créer de l’ambiance et prendre part autrement aux festivités programmées.

Pour les « Boujloud » en solitaires, un tel déguisement ne s’opère guère de manière aléatoire ou anarchique, mais demeure assujetti à une procédure spéciale mise en œuvre par les autorités compétentes de manière à ce que les personnes concernées soient identifiées à l’avance, avec des badges attribués comportant leur identité et la zone d’activité. L’objectif étant d’éviter tout débordement ou comportement illicite et maintenir un degré élevé d’organisation.

Dans une déclaration à la MAP à cette occasion, Mohamed Akdim, chercheur en patrimoine et culture locale, a expliqué que pour le phénomène de « Boujloud », tel que célébré chaque année dans la région, à l’occasion de l’Aid Al Adha, les études historiques et anthropologiques réalisées laissent constater que ce cérémonial remontait à la période antéislamique au Maroc.

Le plus important d’un point de vue anthropologique ou historique, c’est que ce phénomène artistique et culturel diffère d’une région à l’autre et de ce fait, on n’a pas un seul type de « Boujloud » qui est identique à toutes les régions du Royaume, a-t-il ajouté.

Et de poursuivre que le phénomène de « Boujloud » ou « Belmaouen » à Imintanout a été largement influencé par les spécificités locales intrinsèques à cette partie du territoire national, sachant qu’Imintanout a été, à travers de longs siècles de l’histoire, une zone de transit et une étape commerciale indispensable pour nombre de communautés humaines. « C’est pour cela qu’à première vue, le phénomène Boujloud peut apparaître comme +une anarchie organisée+ mais en réalité, il reflète un mélange de danses et de rituels à forte charge culturelle, civilisationnelle et cultuelle, inhérents aux groupes humains locaux, à ceux installés aux alentours d’Imintanout, ou encore des groupes humains ayant transité, à travers l’histoire, via cette zone« , a-t-il enchaîné.

« C’est ainsi que dans le cérémonial de « Boujloud », on observe une forte présence de la femme, ou encore de la danse Ahouach et des Rwayess, propre à Imintanout, de la danse Taskiwine des tribus installées dans les montagnes limitrophes, de la danse Ahiyad de la région de Haha, de la danse sahraouie des tribus Ouled Bou Sbaa installées dans les environs….etc. On y trouve également une véritable influence de la culture juive, étant donné que cette ville a connu, à travers l’histoire, une forte présence de juifs jusqu’aux années 60« , a-t-il expliqué.

Akdim a conclu en affirmant que ce phénomène reflète, de ce fait, l’ensemble de ces cultures, désormais, portées par les jeunes de la région, ce qui illustre une certaine synergie, cohésion et enrichissement mutuel d’un point de vue culturel, artistique voire même humain dans la région, avec à la clé cet esprit d’ouverture, de dialogue, de partage et d’échange avec autrui qui caractérise les habitants de la zone.

Dans une déclaration similaire, Mbarek Ezzabak, président de l’Association Imintanout pour la revivification du patrimoine, a dit toute sa joie et sa fierté de l’organisation de ce cérémonial de « Boujloud » qui, a-t-il dit, se veut l’occasion de célébrer des traditions ancestrales purement amazighes, notant que d’une édition à l’autre, on assite à une évolution des rôles, avec l’apparition aux côtés de « Boujloud » dans sa forme traditionnelle, de nouveaux personnages.

« Nous sommes fiers que la ville d’Imintanout dispose de son Carnaval de « Boujloud » et notre ambition est de jeter la lumière davantage sur ces traditions ancestrales, les diffuser à plus grande échelle, et les promouvoir et les pérenniser pour les générations montantes, tout en veillant à ce que ce rendez-vous soit développé d’année en année« , a-t-il dit, mettant en avant l’excellence de l’organisation de ce Carnaval grâce à l’implication effective de tous.

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Vivez en direct le « Carnaval Tropical Paris 2023 » sur les Champs-Élysées

Le Carnaval Tropical de Paris est un événement haut en couleur qui met à l’honneur la diversité culturelle et les traditions des communautés antillaises, guyanaises, latino-américaines et caribéennes. (Re)voir le direct sur le portail des outre-mer et sur le Facebook de la 1ère.

Aujourd’hui, 34 formations dont 3 venues de Martinique, de Guadeloupe et de Guyane ont effectué des parades sur les Champs-Elysées.

Les carnavaliers ont évolué depuis le bas du Rond-Point des Champs-Élysées jusqu’à la rue de Tilsitt, puis demi-tour pour redescendre jusqu’au point de départ où était installée la tribune du jury.

ordre du défilé des groupes pour l’édition 2023

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(Re)vivez le direct du « Carnaval Tropical Paris 2023 » ce dimanche 2 juillet sur les Champs-Élysées

Le Carnaval Tropical de Paris est un événement haut en couleur qui met à l’honneur la diversité culturelle et les traditions des communautés antillaises, guyanaises, latino-américaines et caribéennes. (Re)voir le direct sur le portail des outre-mer et sur le Facebook de la 1ère.

Aujourd’hui, 34 formations dont 3 venues de Martinique, de Guadeloupe et de Guyane ont effectué des parades sur les Champs-Elysées.

Les carnavaliers ont évolué depuis le bas du Rond-Point des Champs-Élysées jusqu’à la rue de Tilsitt, puis demi-tour pour redescendre jusqu’au point de départ où était installée la tribune du jury.

ordre du défilé des groupes pour l’édition 2023

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Carnaval de Boujloud: quand les ruelles d’Imintanout se transforment en scènes de spectacles

Située au pied des montagnes de l’Atlas à une quarantaine de kilomètres de Chichaoua, la ville d’Imintanout vit depuis, vendredi soir, au rythme de son carnaval de « Boujloud », un événement alléchant et riche en shows et danses organisé, annuellement, dans le cadre de la célébration de l’Aid Al Adha.

Amplement ancrée dans les traditions des autochtones et héritée de génération en génération à travers de longs siècle d’histoire, cette fête populaire de Boujloud (homme de peaux) est l’occasion donc de revivifier et perpétuer tout un rituel ancestral qui se trouve intimement lié à l’Aid Al Adha.

Il s’agit d’un événement majeur organisé depuis des lustres, dans la liesse et la joie collective, autour d’un personnage satirique, déguisé en peau de mouton ou de bouc, avec un visage arborant un masque, généralement une gueule de mouton, orné de cornes, ou tout simplement teinté en noir.

Collant à la main des pattes de mouton, « Boujloud » connu également sous l’appellation de « Bilmaouen » en amazigh, a pour mission de sillonner les ruelles tout au long de la journée, le plus souvent accompagné d’autres individus déguisés, ou d’un groupe d’enfants dont, la tâche consiste essentiellement à collecter des dons et de l’argent auprès du public tout au long de l’itinéraire emprunté, afin d’échapper aux coups de « Boujloud ». Un spectacle donné le plus souvent au rythme des grands tambours.

Si cette fête populaire est organisée depuis les temps dans nombre de villes et de campagnes à travers le Royaume, généralement le deuxième jour de l’Aid Al Adha pour durer encore 2 à 3 jours, elle a de plus en plus tendance à disparaitre, de nos jours, dans nombre de villes et de régions.

Il est presque 20h, une effervescence remarquable et une agitation qui sort de l’ordinaire est observée dans différents quartiers de la ville d’Imintanout, à l’instar d’ »Afela’N’Talat », « Tazrout », « Izouran », « Sidi Ali’O’Isshak » et « El Kasbah ». L’occasion en est le Carnaval de « Boujloud » tant attendu par petits et grands, hommes et femmes, comme l’illustre un public venu en masse investir différents coins de la ville, et assister et apprécier les multiples shows et spectacles programmés pour la circonstance.

Alors que certains enfants et femmes, le regard émerveillé, ont choisi de venir assister à ce spectacle inédit, d’autres, au contraire, ont préféré le suivre depuis les terrasses et fenêtres de leurs demeures.

Une autre manière pour les habitants et les hôtes de la ville d’Imintanout de rompre avec la routine des longues journées ensoleillées et où, le mercure a atteint son summum en cette saison estivale, les obligeant à ne pas quitter leurs maisons qu’en cas d’extrême nécessité. Le Carnaval est donc une occasion de pouvoir renouer avec ce cérémonial ancestral de « Boujloud » qui, lui aussi, n’a pas échappé aux effets de la modernité et aux aléas du moment en y associant, désormais, moult shows des arts de la rue.

Dans ce sens, certains jeunes portant des masques de créatures bizarroïdes et espiègles, qui semblent sortir des ténèbres, ont continué à défiler et à danser au rythme des sonorités de Gnaoua, suscitant, subtilement, un mélange de sensations et d’émotions chez le public, notamment chez les femmes et les enfants dont, les visages affichent, le temps de ce spectacle inédit, « joie », « émerveillement » et une certaine « peur » de cette vague de créatures à découvrir.

Non loin, d’autres « artistes », dans des gestes synchronisés et maitrisés, font bouger et faire danser des marionnettes géantes, alors que d’autres portaient des statues en bois représentant des hommes en habits traditionnels marocains.

« Le Carnaval de Boujloud » à Imintanout se veut donc une véritable occasion festive et un moment de retrouvaille tant attendu entre familles, amis et proches, le temps de passer ensemble des moments inoubliables, de mémoriser l’instant et d’apprécier des shows exécutés, avec brio, par « Boujloud » et ses compagnons autour de plusieurs thématiques en rapport avec la fertilité de la terre, l’alternance des saisons, la mort, les êtres vivants…etc.

Près de trois heures durant ces belles soirées de l’Aid Al Adha, nombre d’artistes déguisés en monstrueuses créatures ou vêtus de costumes confectionnés à partir de peaux de moutons et de chèvres, ont pris l’habitude de défiler, en début de soirée, à travers les ruelles de la ville aux rythmes de grands tambours et Qraqeb (crotales), pour le plaisir et le bonheur de tous.

Et pour que le tout soit organisé dans les règles de l’art et permettre au public de passer d’agréables moments, les autorités locales, les services de police et les éléments des forces auxiliaires n’ont pas lésiné sur les moyens pour assurer la fluidité de la circulation au niveau des artères de la ville, et garantir toutes les conditions optimales d’organisation d’un Carnaval digne de ce nom.

Toujours côté organisationnel, si plusieurs associations dédiées à la préservation et à la pérennisation du cérémonial de « Boujloud » ont vu le jour il y a quelques années, à l’initiative de jeunes, au niveau des quartiers les plus peuplés et les plus anciens d’Imintanout, d’autres préfèrent en cette circonstance heureuse, se déguiser en solo en « Boujloud » et se fondre dans la foule, pour créer de l’ambiance et prendre part autrement aux festivités programmées.

Pour les « Boujloud » en solitaires, un tel déguisement ne s’opère guère de manière aléatoire ou anarchique, mais demeure assujetti à une procédure spéciale mise en œuvre par les autorités compétentes de manière à ce que les personnes concernées soient identifiées à l’avance, avec des badges attribués comportant leur identité et la zone d’activité. L’objectif étant d’éviter tout débordement ou comportement illicite et maintenir un degré élevé d’organisation.

Dans une déclaration à la MAP à cette occasion, Mohamed Akdim, chercheur en patrimoine et culture locale, a expliqué que pour le phénomène de « Boujloud », tel que célébré chaque année dans la région, à l’occasion de l’Aid Al Adha, les études historiques et anthropologiques réalisées laissent constater que ce cérémonial remontait à la période antéislamique au Maroc.

Le plus important d’un point de vue anthropologique ou historique, c’est que ce phénomène artistique et culturel diffère d’une région à l’autre et de ce fait, on n’a pas un seul type de « Boujloud » qui est identique à toutes les régions du Royaume, a-t-il ajouté.

Et de poursuivre que le phénomène de « Boujloud » ou « Belmaouen » à Imintanout a été largement influencé par les spécificités locales intrinsèques à cette partie du territoire national, sachant qu’Imintanout a été, à travers de longs siècles de l’histoire, une zone de transit et une étape commerciale indispensable pour nombre de communautés humaines. « C’est pour cela qu’à première vue, le phénomène Boujloud peut apparaître comme +une anarchie organisée+ mais en réalité, il reflète un mélange de danses et de rituels à forte charge culturelle, civilisationnelle et cultuelle, inhérents aux groupes humains locaux, à ceux installés aux alentours d’Imintanout, ou encore des groupes humains ayant transité, à travers l’histoire, via cette zone », a-t-il enchaîné.

« C’est ainsi que dans le cérémonial de « Boujloud », on observe une forte présence de la femme, ou encore de la danse Ahouach et des Rwayess, propre à Imintanout, de la danse Taskiwine des tribus installées dans les montagnes limitrophes, de la danse Ahiyad de la région de Haha, de la danse sahraouie des tribus Ouled Bou Sbaa installées dans les environs….etc. On y trouve également une véritable influence de la culture juive, étant donné que cette ville a connu, à travers l’histoire, une forte présence de juifs jusqu’aux années 60″, a-t-il expliqué.

M. Akdim a conclu en affirmant que ce phénomène reflète, de ce fait, l’ensemble de ces cultures, désormais, portées par les jeunes de la région, ce qui illustre une certaine synergie, cohésion et enrichissement mutuel d’un point de vue culturel, artistique voire même humain dans la région, avec à la clé cet esprit d’ouverture, de dialogue, de partage et d’échange avec autrui qui caractérise les habitants de la zone.

Dans une déclaration similaire, Mbarek Ezzabak, président de l’Association Imintanout pour la revivification du patrimoine, a dit toute sa joie et sa fierté de l’organisation de ce cérémonial de « Boujloud » qui, a-t-il dit, se veut l’occasion de célébrer des traditions ancestrales purement amazighes, notant que d’une édition à l’autre, on assite à une évolution des rôles, avec l’apparition aux côtés de « Boujloud » dans sa forme traditionnelle, de nouveaux personnages.

« Nous sommes fiers que la ville d’Imintanout dispose de son Carnaval de « Boujloud » et notre ambition est de jeter la lumière davantage sur ces traditions ancestrales, les diffuser à plus grande échelle, et les promouvoir et les pérenniser pour les générations montantes, tout en veillant à ce que ce rendez-vous soit développé d’année en année », a-t-il dit, mettant en avant l’excellence de l’organisation de ce Carnaval grâce à l’implication effective de tous.

Cet écrit a été rendu du mieux possible. Au cas où vous projetez de présenter des renseignements complémentaires à cet article sur le sujet « Canaval en Guadeloupe » vous pouvez écrire aux contacts affichés sur ce site. lafgc.fr vous présente de lire cet article autour du sujet « Canaval en Guadeloupe ». lafgc.fr est une plateforme d’information qui réunit de multiples informations publiés sur le web dont le domaine principal est « Canaval en Guadeloupe ». Connectez-vous sur notre site lafgc.fr et nos réseaux sociaux dans l’optique d’être informé des prochaines communications.

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Vidéos. Carnaval de Boujloud: quand les ruelles d’Imintanout se transforment en scènes de spectacles

Située au pied des montagnes de l’Atlas à une quarantaine de kilomètres de Chichaoua, la ville d’Imintanout vit depuis, vendredi soir, au rythme de son carnaval de « Boujloud », un événement alléchant et riche en shows et danses organisé, annuellement, dans le cadre de la célébration de l’Aid Al Adha.

Amplement ancrée dans les traditions des autochtones et héritée de génération en génération à travers de longs siècle d’histoire, cette fête populaire de Boujloud (homme de peaux) est l’occasion donc de revivifier et perpétuer tout un rituel ancestral qui se trouve intimement lié à l’Aid Al Adha.

Il s’agit d’un événement majeur organisé depuis des lustres, dans la liesse et la joie collective, autour d’un personnage satirique, déguisé en peau de mouton ou de bouc, avec un visage arborant un masque, généralement une gueule de mouton, orné de cornes, ou tout simplement teinté en noir.

Collant à la main des pattes de mouton, « Boujloud » connu également sous l’appellation de « Bilmaouen » en amazigh, a pour mission de sillonner les ruelles tout au long de la journée, le plus souvent accompagné d’autres individus déguisés, ou d’un groupe d’enfants dont, la tâche consiste essentiellement à collecter des dons et de l’argent auprès du public tout au long de l’itinéraire emprunté, afin d’échapper aux coups de « Boujloud ». Un spectacle donné le plus souvent au rythme des grands tambours.

Si cette fête populaire est organisée depuis les temps dans nombre de villes et de campagnes à travers le Royaume, généralement le deuxième jour de l’Aid Al Adha pour durer encore 2 à 3 jours, elle a de plus en plus tendance à disparaitre, de nos jours, dans nombre de villes et de régions.

Il est presque 20h, une effervescence remarquable et une agitation qui sort de l’ordinaire est observée dans différents quartiers de la ville d’Imintanout, à l’instar d’ »Afela’N’Talat », « Tazrout », « Izouran », « Sidi Ali’O’Isshak » et « El Kasbah ». L’occasion en est le Carnaval de « Boujloud » tant attendu par petits et grands, hommes et femmes, comme l’illustre un public venu en masse investir différents coins de la ville, et assister et apprécier les multiples shows et spectacles programmés pour la circonstance.

Alors que certains enfants et femmes, le regard émerveillé, ont choisi de venir assister à ce spectacle inédit, d’autres, au contraire, ont préféré le suivre depuis les terrasses et fenêtres de leurs demeures.

Une autre manière pour les habitants et les hôtes de la ville d’Imintanout de rompre avec la routine des longues journées ensoleillées et où, le mercure a atteint son summum en cette saison estivale, les obligeant à ne pas quitter leurs maisons qu’en cas d’extrême nécessité. Le Carnaval est donc une occasion de pouvoir renouer avec ce cérémonial ancestral de « Boujloud » qui, lui aussi, n’a pas échappé aux effets de la modernité et aux aléas du moment en y associant, désormais, moult shows des arts de la rue.

Dans ce sens, certains jeunes portant des masques de créatures bizarroïdes et espiègles, qui semblent sortir des ténèbres, ont continué à défiler et à danser au rythme des sonorités de Gnaoua, suscitant, subtilement, un mélange de sensations et d’émotions chez le public, notamment chez les femmes et les enfants dont, les visages affichent, le temps de ce spectacle inédit, « joie », « émerveillement » et une certaine « peur » de cette vague de créatures à découvrir.

Non loin, d’autres « artistes », dans des gestes synchronisés et maitrisés, font bouger et faire danser des marionnettes géantes, alors que d’autres portaient des statues en bois représentant des hommes en habits traditionnels marocains.

« Le Carnaval de Boujloud » à Imintanout se veut donc une véritable occasion festive et un moment de retrouvaille tant attendu entre familles, amis et proches, le temps de passer ensemble des moments inoubliables, de mémoriser l’instant et d’apprécier des shows exécutés, avec brio, par « Boujloud » et ses compagnons autour de plusieurs thématiques en rapport avec la fertilité de la terre, l’alternance des saisons, la mort, les êtres vivants…etc.

Près de trois heures durant ces belles soirées de l’Aid Al Adha, nombre d’artistes déguisés en monstrueuses créatures ou vêtus de costumes confectionnés à partir de peaux de moutons et de chèvres, ont pris l’habitude de défiler, en début de soirée, à travers les ruelles de la ville aux rythmes de grands tambours et Qraqeb (crotales), pour le plaisir et le bonheur de tous.

Et pour que le tout soit organisé dans les règles de l’art et permettre au public de passer d’agréables moments, les autorités locales, les services de police et les éléments des forces auxiliaires n’ont pas lésiné sur les moyens pour assurer la fluidité de la circulation au niveau des artères de la ville, et garantir toutes les conditions optimales d’organisation d’un Carnaval digne de ce nom.

Toujours côté organisationnel, si plusieurs associations dédiées à la préservation et à la pérennisation du cérémonial de « Boujloud » ont vu le jour il y a quelques années, à l’initiative de jeunes, au niveau des quartiers les plus peuplés et les plus anciens d’Imintanout, d’autres préfèrent en cette circonstance heureuse, se déguiser en solo en « Boujloud » et se fondre dans la foule, pour créer de l’ambiance et prendre part autrement aux festivités programmées.

Pour les « Boujloud » en solitaires, un tel déguisement ne s’opère guère de manière aléatoire ou anarchique, mais demeure assujetti à une procédure spéciale mise en œuvre par les autorités compétentes de manière à ce que les personnes concernées soient identifiées à l’avance, avec des badges attribués comportant leur identité et la zone d’activité. L’objectif étant d’éviter tout débordement ou comportement illicite et maintenir un degré élevé d’organisation.

Dans une déclaration à la MAP à cette occasion, Mohamed Akdim, chercheur en patrimoine et culture locale, a expliqué que pour le phénomène de « Boujloud », tel que célébré chaque année dans la région, à l’occasion de l’Aid Al Adha, les études historiques et anthropologiques réalisées laissent constater que ce cérémonial remontait à la période antéislamique au Maroc.

Le plus important d’un point de vue anthropologique ou historique, c’est que ce phénomène artistique et culturel diffère d’une région à l’autre et de ce fait, on n’a pas un seul type de « Boujloud » qui est identique à toutes les régions du Royaume, a-t-il ajouté.

Et de poursuivre que le phénomène de « Boujloud » ou « Belmaouen » à Imintanout a été largement influencé par les spécificités locales intrinsèques à cette partie du territoire national, sachant qu’Imintanout a été, à travers de longs siècles de l’histoire, une zone de transit et une étape commerciale indispensable pour nombre de communautés humaines. « C’est pour cela qu’à première vue, le phénomène Boujloud peut apparaître comme +une anarchie organisée+ mais en réalité, il reflète un mélange de danses et de rituels à forte charge culturelle, civilisationnelle et cultuelle, inhérents aux groupes humains locaux, à ceux installés aux alentours d’Imintanout, ou encore des groupes humains ayant transité, à travers l’histoire, via cette zone », a-t-il enchaîné.

« C’est ainsi que dans le cérémonial de « Boujloud », on observe une forte présence de la femme, ou encore de la danse Ahouach et des Rwayess, propre à Imintanout, de la danse Taskiwine des tribus installées dans les montagnes limitrophes, de la danse Ahiyad de la région de Haha, de la danse sahraouie des tribus Ouled Bou Sbaa installées dans les environs….etc. On y trouve également une véritable influence de la culture juive, étant donné que cette ville a connu, à travers l’histoire, une forte présence de juifs jusqu’aux années 60″, a-t-il expliqué.

M. Akdim a conclu en affirmant que ce phénomène reflète, de ce fait, l’ensemble de ces cultures, désormais, portées par les jeunes de la région, ce qui illustre une certaine synergie, cohésion et enrichissement mutuel d’un point de vue culturel, artistique voire même humain dans la région, avec à la clé cet esprit d’ouverture, de dialogue, de partage et d’échange avec autrui qui caractérise les habitants de la zone.

Dans une déclaration similaire, Mbarek Ezzabak, président de l’Association Imintanout pour la revivification du patrimoine, a dit toute sa joie et sa fierté de l’organisation de ce cérémonial de « Boujloud » qui, a-t-il dit, se veut l’occasion de célébrer des traditions ancestrales purement amazighes, notant que d’une édition à l’autre, on assite à une évolution des rôles, avec l’apparition aux côtés de « Boujloud » dans sa forme traditionnelle, de nouveaux personnages.

« Nous sommes fiers que la ville d’Imintanout dispose de son Carnaval de « Boujloud » et notre ambition est de jeter la lumière davantage sur ces traditions ancestrales, les diffuser à plus grande échelle, et les promouvoir et les pérenniser pour les générations montantes, tout en veillant à ce que ce rendez-vous soit développé d’année en année », a-t-il dit, mettant en avant l’excellence de l’organisation de ce Carnaval grâce à l’implication effective de tous.

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Bordeaux : au « carnaval déter », “la colère du peuple ne faiblit pas”

Déguisés, ils ont manifesté contre la politique menée par le gouvernement et la dissolution du collectif Soulèvement de la Terre, ce samedi 1er juillet à Bordeaux

Derrière des masques d’oiseaux, de nombreuses revendications. Samedi 1er juillet, un « Carnaval déter » (pour « déterminé ») a circulé dans la ville, au départ de la Place de la Victoire, en début d’après-midi. Présenté comme une « manifestation populaire, vivante et festive contre toute forme de discrimination », l’initiative a rassemblé plusieurs partis politiques et syndicats dont La France Insoumise, Force ouvrière, Ensemble !, le Nouveau parti anticapitaliste (NPA), la Fédération syndicale unitaire, la Confédération paysanne et autres organisations.

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Le Carnaval Tropical de Paris 2023 maintenu, horaire et parcours sur les Champs Elysées

Par Rizhlaine F., Caroline J., My B. · Photos par My B. · Publié le 2 juillet 2023 à 10h26

Le Carnaval Tropical de Paris fait son retour ce dimanche 2 juillet 2023 dans la capitale. Cette parade haute en couleur, s’empare de l’avenue des Champs-Elysées à travers un défilé rythmé avec de la musique, des danses et des tenues traditionnelles représentant des cultures des quatre coins du globe.

Le Carnaval Tropical  revient à Paris pour une nouvelle et 21e édition. Le rendez-vous est donné ce dimanche 2 juillet 2023, pour assister à cette manifestation festive qui s’empare de la plus belle avenue du monde. Eh oui, des centaines de danseurs et une trentaine de groupes de carnavaliers défilent pour l’occasion sur l’avenue des Champs-Elysées. Pour cette occasion, plusieurs associations de Paris et d’Île-de-France viennent parader pour représenter fièrement des cultures venues des quatre coins du globe à travers des tenues et des danses traditionnelles. 

Photos : Carnaval Tropical de Paris 2022Photos : Carnaval Tropical de Paris 2022Photos : Carnaval Tropical de Paris 2022Photos : Carnaval Tropical de Paris 2022

Ce défilé commence dès 13h depuis le carrefour de la rue Franklin Roosevelt. Pour cette nouvelle édition, on retrouve un défilé autour du thème  » Les Couleurs du Monde« . Parmi la trentaine de groupes qui seront au rendez-vous, on retrouve quatre invités venus tout droit de Guadeloupe, de Guyane et de Martinique. Pour ouvrir le bal, on retrouvera un char présentant les Roi et Reine ayant été élus le 15 mai dernier durant le concours de la Fédération du Carnaval Tropical de Paris et de l’Île-de-France.

Ensuite, vous pourrez admirer les différents groupes venus concourir dans leurs catégories respectives : danse, musique, costumes et chorégraphie. De quoi assurer le show sur la plus belle avenue du monde ! Depuis le village carnavalier, situé en bas de l’avenue des Champs-Elysées, à proximité du théâtre du Rond-Point, on peut voir partir les groupes du défilé festif.

Le Carnaval Tropical de Paris 2023 maintenu, horaire et parcours sur les Champs ElyséesLe Carnaval Tropical de Paris 2023 maintenu, horaire et parcours sur les Champs ElyséesLe Carnaval Tropical de Paris 2023 maintenu, horaire et parcours sur les Champs ElyséesLe Carnaval Tropical de Paris 2023 maintenu, horaire et parcours sur les Champs Elysées

Le Carnaval Tropical de Paris est sans doute le plus gros carnaval festif de la capitale. Il réunit chaque année près de 200 000 spectateurs pour un parcours des plus animés. Initié il y a plus de 20 ans désormais, ce carnaval qui était à l’origine organisé par les Antillais de la métropole, vois aujourd’hui se réunir de nombreuses origines diverses comme notamment la Chine, le Brésil, l’Angleterre, la Hollande ou encore la Colombie. 

Photos : Carnaval Tropical de Paris 2022Photos : Carnaval Tropical de Paris 2022Photos : Carnaval Tropical de Paris 2022Photos : Carnaval Tropical de Paris 2022

Pour la petite histoire, le Carnaval Tropical, c’est quoi ? C’est le rassemblement de centaines de costumes colorés qui proviennent de toutes les contrées, c’est des musiques qui vont du traditionnel aux sonorités exotiques et c’est aussi des chorégraphies imaginées pour l’occasion qui donne champs libres aux groupes présents pour mêler histoire et créativité. C’est aussi un concours qui récompense les plus belles prestations exécutées devant la tribune en fin de parcours.

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Carnaval Tropical 2023: ”Paris aux couleurs du Monde” sur les Champs-Élysées, ce dimanche

Le Carnaval Tropical de Paris, plus gros carnaval festif de la capitale se déroule ce dimanche 2 juillet 2023. À partir de 13 heures, 34 formations dont 3 groupes venus de Martinique, de Guadeloupe et de Guyane vont effectuer leurs parades sur les Champs-Elysées, devant près de 200 000 spectateurs.

La parade carnavalesque sur Les Champs-Elysées est maintenue. Dans un post Facebook, Teddy Lacroix du comité d’organisation est en relation avec les autorités compte tenu du contexte social. Sauf décision de dernière minute, la manifestation est programmée pour ce dimanche 2 juillet 2023.

Le Carnaval Tropical de Paris est un événement haut en couleur qui met à l’honneur la diversité culturelle et les traditions des communautés antillaises, guyanaises, latino-américaines et caribéennes. Cette 21e édition a pour thème « Paris aux couleurs du Monde », permettant ainsi aux groupes participants de s’exprimer librement et d’explorer toutes les extravagances artistiques.

Ce carnaval, crée il y a plus de 20 ans par les Antillais et les Guyanais en France, a évolué pour accueillir des traditions carnavalesques de différentes origines, provenant de toute l’Amérique latine (Colombie, Bolivie, Brésil, Pérou, etc.) et de la Caraïbe (Martinique, Guadeloupe, Guyane, Haïti, République dominicaine).

Des centaines de danseurs et 34 groupes de carnavaliers, ainsi que des associations de Paris et d’Île-de-France, présenteront les cultures venant des quatre coins du monde à travers des tenues et des danses traditionnelles. Le carnaval tropical de Paris est une célébration de la diversité culturelle et un véritable melting-pot artistique.

La maire de Paris, Anne Hidalgo, a souhaité la bienvenue à cette 21ème édition du Carnaval Tropical de Paris sur les Champs-Élysées,

Les Outre-Mer reviennent en musiques enchanter la plus belle avenue du monde pour l’un des grands événements culturels, artistiques et festifs ouverts à tous de la capitale. Depuis plus de 20 ans, à travers son Carnaval Tropical, la Ville de Paris valorise la pluralité culturelle, notamment celle issue de nos Outre-mer. Ancrée dans la tradition carnavalesque caribéenne et latino-américaine, elle est synonyme de brassage et de partage, dont notre capitale est une belle expression.

Anne Hidalgo, maire de Paris

Le programme du Carnaval Tropical 2023 comprendra un départ de parade officiel donné par Anne Hidalgo, en présence de Jacques Martial, Conseiller des Outre-Mer auprès de la Maire de Paris, et de Jeanne d’Hauteserre, Maire du 8e arrondissement. La Reine et le Roi du carnaval, élus en mai 2023, lanceront le défilé.

Le nouveau couple royal Grégoire et Annaelle

Le programme du Carnaval Tropical 2023 comprendra un départ de parade officiel donné par Anne Hidalgo, en présence de Jacques Martial, Conseiller des Outre-Mer auprès de la Maire de Paris, et de Jeanne d’Hauteserre, Maire du 8e arrondissement. La Reine et le Roi du carnaval, élus en mai 2023, lanceront le défilé.

Les carnavaliers évolueront depuis le bas du Rond-Point des Champs-Élysées jusqu’à la rue de Tilsitt, puis effectueront un demi-tour pour redescendre jusqu’au point de départ où sera installée la tribune du jury.

ordre du défilé des groupes pour l’édititon 2023

À la fin des prestations, un jury désignera les lauréats dans différentes catégories prédéfinies, telles que la meilleure musique, le meilleur groupe, le meilleur costume, la meilleure chorégraphie, etc. Cela permet de reconnaître et de récompenser les talents et les performances remarquables lors de ce carnaval haut en couleur et en énergie.

Les organisateurs attendent des participants qu’ils transmettent une joie de vivre communicative, synonyme de plaisir, de dynamisme et de bonne humeur, dans une ambiance festive et conviviale.

À suivre en direct sur le Facebook du portail de la 1ere.

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