Une soixantaine d’enfants ont participé au carnaval organisé par le Relais petite enfance. C’est sous une douce chaleur qu’environ 60 enfants se sont regroupés dans la cour du Relais petite enfance, lieu fédérateur des assistants maternels du territoire de Roussillon Conflent. Les tout-petits ont reçu une pochette de confettis et se sont dirigés en musique vers le parc Bombes, près de la médiathèque. Ils ont été accueillis par le contrebassiste Emmanuel Massat, qui leur a fait découvrir son instrument tout en délicatesse. Enfin, le programme s’est terminé par une pause gourmande, à l’ombre des platanes du parc. Un grand bravo à Isabelle, Aurélie et Nadine pour l’organisation de cette animation et aux assistantes pour leur dynamisme et leur bonne humeur.
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Ce vendredi 29 mars après-midi, le vent soufflait fort lorsque le cortège des petits de la maternelle des Floralies conduit par Rémy Peyret, le directeur, a pris le chemin de la maternelle de l’Aiguille pour une après-midi carnaval commune.
Après un défilé en musique dans les rues du quartier, c’est à un rendez-vous désormais incontournable que tous ont répondu ! Pour terminer par un moment convivial et inter-générationnel, la joyeuse troupe est arrivée dans le jardin du Nid trébéen où les résidents les accueillaient par des applaudissements.
Jus de fruits, œufs chocolat, gâteaux… les mamies et papys avaient tout prévu que ce petit monde se restaure autour d’un bon goûter.
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Ils sont une quinzaine autour de moi ce dimanche matin, dans mon local situé derrière la mairie. Heureusement qu’ils ne sont pas plus nombreux et qu’il n’y a qu’un seul enfant parmi eux ! Je ne veux pas que les Casselois, et plus particulièrement les plus jeunes, me voient dans cet état : allongé sur un matelas en plusieurs morceaux et à moitié vêtu. Je suis quand même l’invincible Reuze papa, un colosse de plus de six mètres protégé d’une armure et armé d’un glaive. Sébastien Deblieck, président de l’association qui s’occupe de moi, y veille : « L’habillement de Reuze papa est un moment en petit comité, explique-t-il. On laisse le suspense pour les enfants, qu’ils voient Reuze papa toujours monté : c’est la magie du carnaval. » C’est bien vrai. Imaginez que le 23 décembre les enfants voient le père Noël sans son costume et une bière à la main !
« La mode, ce n’est pas mon truc »
Là, ils sont à six pour serrer la trentaine de nœuds de ma robe. Une vraie petite armée à mon service. La mode ce n’est pas mon truc. Mais je vérifie quand même qu’ils font ça correctement. Il en est de ma réputation ! Comme le dit Ludovic Laforce, « on serre bien les nœuds, car c’est ce qui va tenir la robe… ». Et si la robe se lève on voit mes deux porteurs…
Il était temps que mes amis viennent me voir… j’en avais marre d’être en plusieurs morceaux.Tout ce monde aux petits soins pour s’occuper de moi… cela fait chaud au cœur.Enfin debout ! Me voilà prêt pour le carnaval.
Quel bonheur d’enfiler mes vêtements qui ont bénéficié de leur lavage annuel. On installe maintenant mes grelots. Rien d’esthétique contrairement à ce que vous pensez. Le but est que ma cape ne s’envole pas. Je prends enfin forme. Cela me fait un bien fou, moi qui passe toute l’année en plusieurs morceaux, faute de place pour me caser de la tête aux pieds.
«J’entends des voix familières»
Attention, je sens que ça va bouger : voilà qu’ils sont plusieurs à me soulever. J’entends la voix familière de Pascal Galoo, un membre de ma garde rapprochée aussi bavard qu’amoureux du carnaval. Il est loin le temps où nos relations étaient compliquées ! Je suis né au début des années 2000 pour succéder au premier Reuze papa, créé en 1827 et trop fragile pour sortir. Lui qui s’occupe des géants depuis 1987 était, au départ « sceptique » comme il le dit. Il a finalement changé d’avis, comme il me l’a confié un jour : « J’avais peur que les Casselois ne te suivent pas en tant réplique… mais au contraire. Les Casselois sont tous les enfants de Reuze papa et Reuze maman ! » Depuis, il connaît tous mes secrets, comme ce coup pris au visage après une danse trop rapprochée avec Reuze maman.
Enfin dehors. Mais c’est seulement pour quelques minutes car je rejoins l’hôtel de ville. Si je joue les durs avec mon visage fermé, sachez qu’il y a un cœur derrière ma cuirasse. Quel bonheur de retrouver Marie-Pierre Bellynck qui ajuste mon écharpe avec application, passant délicatement à côté de ma joue. « C’est une fierté de voir Reuze papa de si près, confie-t-elle à un journaliste. Le carnaval, c’est inné chez nous. J’ai 63 ans, tant que je pourrai m’occuper de Reuze papa je le ferai. » Ses mots me touchent. Lundi, c’est tout le peuple casselois qui va me clamer son amour !
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l’essentiel Drôle de carnaval sauvage surveillé par des drones et quadrillé par les forces de l’ordre. Malgré tout, le cortège de 300 personnes a mis plus d’une heure, dimanche 31 mars, à décoller de la place Arago à Toulouse.
Ce sont des participants qui ont préféré, pour la plupart, bouder le Carnaval unifié qui a rassemblé des milliers de gens dans les rues de Toulouse, samedi 30 mars. Hier, c’était au tour du « carnaval sauvage et populaire » de déambuler dans les rues du quartier Bonnefoy en pleine transformation, mais sous haute surveillance.
La préfecture de la Haute-Garonne, qui n’a pas autorisé la manifestation, a déployé un conséquent dispositif de forces de l’ordre, renforcé par des drones qui ont survolé les participants. L’an passé, quatre commerces avaient eu leurs vitres cassées.
Un carnaval « autrement »
Drôle de carnaval sauvage, auquel ont participé beaucoup d’enfants en bas âge, qui ont dû prendre leur mal en patience avant de voir du spectacle. Il y avait bien un ou deux chars et de nombreuses personnes costumées, mais le cortège a tergiversé une bonne heure, place Arago, avant de se regrouper rue du Faubourg Bonnefoy, fermé à la circulation, devant le magasin Casino. Parmi les participants, d’un événement qui se déroule « autrement ».
« Les gens veulent juste faire la fête… »
« Le message, c’est celui qu’on veut faire passer à Toulouse Métropole, on est pour un carnaval moins institutionnalisé, qui met plus en valeur les différences », confie Emma. « Pour moi, le carnaval n’est plus ce qu’il était à Toulouse, explique Abdel. Il y a des barrières et moins ce côté convivial où on peut discuter avec tout le monde. Le carnaval sauvage est plus sympa, les gens ne sont pas agressifs, ils veulent juste faire la fête ». Les organisateurs appelaient à une réaction contre un « quartier de Bonnefoy en grande transformation : ce carnaval est insolent, il se moque de ce vilain monde et de toutes celles et ceux qui l’entretiennent tel qu’il est, vieux, pollué et traversé de barbelés ».
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Pauillac n’est plus un port d’eau douce, ce samedi de week-end de Pâques. Des dizaines de pirates ont accosté, leurs sabres fendent l’air, leurs cris submergent les quais. Heureusement pour les locaux, tout est maîtrisé : les corsaires dépassent rarement 1 m 20, et des agents de la commune veillent au grain.
Le comité d’organisation…
Pauillac n’est plus un port d’eau douce, ce samedi de week-end de Pâques. Des dizaines de pirates ont accosté, leurs sabres fendent l’air, leurs cris submergent les quais. Heureusement pour les locaux, tout est maîtrisé : les corsaires dépassent rarement 1 m 20, et des agents de la commune veillent au grain.
Le comité d’organisation du carnaval d’Hourtin était également de la partie, avec deux chars autour des Jeux olympiques
Q.S.
« On a tout fait nous-même ! » Jocelyne Aimé, directrice de la culture et de la communication à la mairie, a joué le jeu jusqu’au bout. Elle rentre dans la médiathèque, où se tiennent des animations maquillage et de jeu, sabre à la main et bandana autour du cou. « On aime bien, ça crée un rapport particulier avec les différents publics. »
Jeux de société, parade et maquillage
Les enfants s’agglutinent pour passer au maquillage. « Il nous faudra plus de monde la prochaine fois ! », s’amuse Julia Giguet, directrice du centre culturel, en marinière et bandana elle aussi. « Même les garçons veulent une barbe. » Un atelier autour de jeux de société rencontre aussi un certain succès. « L’idée, c’est de faire découvrir des jeux modernes, qui changent des petits chevaux », explique Julien Michelan de l’entreprise Tapajo.
Gros succès pour l’atelier maquillage
Q. S.
Pourtant, les enfants trépignent. C’est surtout la parade et la chasse aux trésors qu’ils attendent. Cette année, cinq chars défilent, parmi lesquels un bateau pirate confectionné par l’association Chouette on le fait ensemble. Un bateau mobilisé sur plusieurs carnavals auparavant, qui devrait également être de sortie lors des premières escales de paquebots prévues pour Pauillac cet été.
Faire vivre la ville
« J’avais quinze ans quand j’ai commencé les premiers carnavals », raconte Dominique Minois, président de Chouette on le fait ensemble. « Le carnaval de Pauillac allait mourir en 2009, il fallait quelqu’un pour reprendre le flambeau des parades » Son navire, confectionné avec d’autres membres de l’association et avec des travailleurs d’ESAT, est l’aboutissement de plusieurs mois de travail. « Ce qui me motive, c’est le côté créatif… Et de voir la satisfaction du public quand les chars passent ! »
C’est une bonne situation ça, chevalier ?
Q.S.
Des renforts viennent aussi du comité d’organisation du carnaval de Hourtin, avec deux chars autour des Jeux olympiques. Là encore, c’est l’affaire de plusieurs semaines de travail, le temps de confectionner les costumes notamment. « C’est l’ambiance qui nous fait venir ! Ces carnavals font vivre les villages, et c’est super important. »
Belle ambiance sur les quais de Pauillac samedi
Q.S.
« Le carnaval de Pauillac allait mourir en 2009, il fallait quelqu’un pour reprendre le flambeau des parades »
Et en effet, Pauillac vit : environ 200 personnes paradent sur les quais. Christelle est venue avec sa fille de 10 ans, Rose. Elles sont habituées de festivités, tout comme Thomas, qui défile en (vraie) armure avec sa compagne et sa fille. Apothéose : une chasse aux trésors, durant laquelle les enfants doivent trouver des pièces d’or cachées sur la nouvelle aire de jeu ambiance maritime, installée sur les quais. « On voulait que les enfants s’impliquent et ça marche », sourit Jocelyne Aimé au milieu des cris et des enfants qui courent. « On est vraiment ravis qu’ils se soient imprégnés du thème. »
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L’édition 2024 du carnaval de Toulouse s’est déroulée ce samedi 30 mars, au rythme de la batucada. Il y avait beaucoup de monde pour défiler dans les rues de la ville rose. Un thème cette année, l’Amazonie avec des chars et des costumes hauts en couleurs.
Retour en images sur l’édition 2024 du carnaval de Toulouse ce samedi 30 mars. Des chars colorés, des costumes extravagants et des rythmes endiablés pour célébrer l’Amazonie.
C’est dans le quartier d’Arnaud Bernard sur la place du même nom que les aficionados du carnaval s’étaient donné rendez-vous ce samedi après-midi. Une édition placée sous le signe de l’Amazonie pour célébrer la diversité et la convivialité.
Le carnaval a rassemblé près de 50 000 personnes, petits et grands venus partager ce moment de fête, qui coïncidait cette année avec le grand week-end de Pâques.
Comme le veut la tradition, le maire de Toulouse a remis les clefs de la ville aux organisateurs, le COCU, le Comité d’Organisation du Carnaval Unifié.
Après une mise en jambes dans l’après-midi, le défilé s’est élancé vers 19H30 en direction des boulevards, du métro Jean Jaurès et des remblas pour un final avec l’organisation d’un bal.
Cerise sur le gâteau : la météo était de la partie. De quoi faire de cette édition 2024 un vrai succès populaire.
Sur son compte Facebook, le comité d’organisation a remercié chaleureusement, tous ceux qui ont contribué à cette grande soirée de fêtes. Le carnaval, c’est fini ! Rendez-vous maintenant en 2025.
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50 000. C’est le nombre de personnes qui ont participé à l’édition 2024 du carnaval de Toulouse, selon les organisateurs. Un joli succès donc ! La grande parade organisée par le Comitée d’organisation du carnaval unifié (COCU) s’est mise aux couleurs de l’Amazonie, cette année.
Chars, percussions et rythmes endiablés étaient forcément au menu de ce carnaval 2024 !
Le cortège coloré s’est élancé depuis Arnaud-Bernard aux alentours de 19h30. Comme le veut la tradition, le maire Jean-Luc Moudenc, a remis les clés de la ville aux organisateurs. La fête pouvait commencer ! Inarrêtable, le défilé a poursuivi sa route en direction des allées Jean-Jaurès, pour une longue nuit festive et colorée.
Les images du carnaval
Voici nos images de cette édition 2024 du carnaval de Toulouse :
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Samedi 23 mars, sous un soleil printanier, une quarantaine d’élèves de l’école d’Aynac ont revêtu leurs plus beaux costumes à l’occasion de la journée du Carnaval, organisé par l’association des parents d’élèves. Une cavalcade très colorée, musicale et festive a déambulé dans les rues d’Aynac.
L’APE remercie chaleureusement toutes les familles pour leurs généreuses contributions par les goûters apportés, mais également les enfants et parents déguisés qui en participant ont contribué à la réussite de cet évènement. Un goûter convivial et partagé a clôturé cette belle journée. L’APE vous donne rendez-vous pour la prochaine manifestation… la chasse aux œufs de Pâques, samedi 27 avril 2024.
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l’essentiel Même si la date officielle du carnaval était passée, les associations ont fait de cette première édition un succès.
Samedi dernier, la commune a accueilli le premier grand défilé de carnaval de son histoire, réunissant l’essentiel des associations locales à travers une organisation unique. Huit chars illustrant le thème du « Tour du monde » ont circulé dans le village. Parmi eux, le Groupe histoire de recherches historiques a tracté la reconstitution du pont Bow-string, symbole de la commune. L’association des parents d’élèves Les Petites Canailles a conçu un géant tahitien avec un globe terrestre indiquant la commune. Les bénévoles du défilé automobile bessinois de septembre étaient de la partie, tout comme les majorettes Gaga Girls, le club de football AS Bessens, la mairie de Bessens. Le conseil municipal des jeunes avait également confectionné son char. La toute nouvelle association Bessens en fête, qui prendra le relais de l’ancien comité pour la fête locale de septembre et d’autres animations, a défilé sous les couleurs de l’Espagne avec un char-taureau très apprécié.
Le géant de papier mâché, Monsieur Carnaval, a été réalisé par les enfants du centre de loisirs municipal dans le cadre des ateliers proposés par l’équipe d’animation. C’est lui qui a été jugé en final !
500 participants
Le cortège, long de 300 m, et comprenant environ 500 participants, a cheminé de rues en chemins se dirigeant vers le stade où s’est déroulé le procès de M. Carnaval. Il a été mené par les membres du conseil municipal des jeunes et, bien sûr, M. Carnaval a fini brûlé comme le veut la tradition. Les Gaga Girls ont ensuite fait une démonstration de bâtons de feu. Après un retour à la salle des fêtes, les festivités se sont poursuivies en soirée, avec le repas pris en commun grâce à plusieurs foodtrucks.
De nombreux habitants étaient déguisés : un cuisinier puisant des confettis dans sa grande marmite de « cassoulet bessinois », le retour de l’esprit du dernier garde champêtre muni de l’authentique tambour local de l’époque, mais aussi plusieurs Gaulois comme le forgeron à cornes ou encore le cantonnier en peau d’ours en peluche sur le tracteur. Le tout au rythme d’une banda à percussions et des majorettes sous une pluie de confettis et de sourires.
Une première édition voulue « façon Uderzo d’un petit village d’irréductibles Tarn-et-Garonnais qui revendiquent leur joie de vie sans se soucier du monde romain ». Un succès pour ce premier grand événement interassociations et… il y en aura d’autres.
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Le vilain hiver est mort, vive le printemps. Pourtant, les membres de l’Amicale laïque de Sarlat (Dordogne) ont eu chaud, très chaud, vendredi 29 mars sur les coups de 20 heures, lorsqu’un violent orage s’est abattu sur le Périgord noir. Il faut dire que le carnaval, première grande fête populaire du printemps, devait se tenir le lendemain.
Cette année, les JO étaient à l’honneur.
Boris Rebeyrotte
Finalement, Monsieur Hiver, après un dernier coup de semonce, est allé se rendormir, laissant un joli soleil inonder la place de la Liberté en milieu d’après-midi, pour le début des festivités. Cette année, le thème était les Jeux olympiques, Sarlat ayant été désignée « ville iconique » et devant accueillir le passage de la flamme le 22 mai. Foot, rugby, équitation, course à pied, les Sarladais ont joué le jeu en choisissant des déguisements en rapport avec l’olympisme.
Les enfants ont participé au concours du plus beau costume.
B. R.
Les Sarladais ont joué le jeu du thème proposé, à savoir les JO.
B. R.
Certains sont même allés plus loin en remontant le temps jusqu’aux Grecs, inventeurs des Jeux. Sur la place, les ateliers de maquillage pour les enfants ont fait le plein durant plus d’une heure, alors que le groupe Samba Garage assurait l’ambiance musicale. Petit à petit, la foule gagnait le cœur de Sarlat. Quelques confettis commençaient à s’envoler, de même que des ballons, lâchés par leurs jeunes propriétaires.
Les ateliers de maquillage ont fait le plein.
B. R.
Rampano condamné
À 17 heures, premier temps fort du jour avec le concours de déguisements pour les plus jeunes, devant la mairie. Sans surprise, le jury, impartial, a récompensé les enfants « qui sont dans le thème et avec du fait maison ». De quoi décevoir deux ou trois Spider Man et une ou deux Cendrillon. Puis, à 17 h 30, la rumeur a commencé à enfler. Rampano arrivait en ville.
Rampano a déambulé dans le secteur sauvegardé, suivi par la foule.
B.R.
C’est en descendant la rue Fénelon que la statue géante est entrée dans le cœur de la cité, avant d’entamer un périple épique dans le secteur sauvegardé, la foule sur ses talons.
Rampano a achevé sa déambulation au centre culturel, pour son jugement. Un jugement sans appel, qui l’a condamné au bûcher, avec exécution immédiate de la peine. C’est officiel, le printemps est là.
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